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Clara Morgane est née le 25 janvier 1981 à Marseille, dans une famille de coiffeurs qui lui donnent une éducation plutôt rigide.
Selon les biographies officielles, Clara Morgane pose devant l'objectif pour une agence de mannequins dès l'âge de 12 ans. Elle s'inscrit en BTS action-co à Marseille et commence une carrière dans le X.
En 1991, âgée de 19 ans, elle quitte Marseille pour Paris. Elle se fait remarquer en tournant une série de 6 films avec un seul partenaire : Greg Centauro, son amant depuis 1997. Elle sera cependant la partenaire de l'acteur de films pornographiques français Ian Scott) pour deux scènes avec les films La Cambrioleuse et La Candidate. Morgane voit le cinéma X comme un moyen d'accéder à une certaine notoriété. Elle l'abandonnera au bout d'un an.
En 2002, elle est Penthouse Pets du mois de mai de l'édition américaine du magazine Penthouse.
A partir de 2006, elle pose dévêtue pour ses calendriers « chauds » qui se vendent au rythme de 200.000 exemplaires chaque année.

lundi 2 août 2010

CLARA MORGANE : les dessous de Clara Morgane

Tout sur Clara Morgane. De ses premiers bouts d'essai Hard avec Greg Centauro à sa consécration aux derniers Hot d'Or de leur histoire, découvrez au quotidien l'intimité torride de Clara. A travers ses joutes sexuelles avec Estelle Desanges ou avec Rumika, ses duos enflammées avec Greg, son plaisir constant de choisir et de porter des lingeries excitantes, ses confidences, ses confessions, Clara se décoile et nous livre tout ses secrets (même les plus inavouables). Un document-vérité sans concession de Fred Coppula.
Ce faux documentaire, vraie compilation des meilleurs moments professionnels de Clara Morgane, agrémentée d’une interview qui vient s’intercaler entre les différentes séquences, est l’occasion de revenir sur le phénomène et le business Clara Morgane, autoproclamée ‘’star du X’’. Ce DVD est particulièrement édifiant à ce titre et il est intéressant de remarquer qu’un grand nombre des propos tenus par l’intéressée dans l’interview est systématiquement soit validé, soit infirmé par le reste du métrage.
D’abord, la force principale, l’atout maître de Clara et ce sur quoi tout le système repose, son essence pour ainsi dire, c’est son côté voisine de pallier : Clara c’est la jolie coiffeuse d’en face, la mignonne vendeuse de chez Sephora ou du Printemps, la jeune étudiante marseillaise en ‘’BTS action co’’ (comme elle dit). Avec son look d’assistante commerciale ou de réceptionniste, de petite provinciale emparisiennée et sophistiquée, un peu cochonne mais pas trop, coquine mais pas au point d’être fiefée, elle ferait rêver n’importe qui dans le métro. Or c’est encore mieux pour faire fantasmer la France entière dans le porno. Mais version jeune et soft comme tout le monde. Parce que Clara, comme elle le dit si bien, elle veut que le sexe se soit beau et propre (sic). (Quand j’entends ça, j’ai l’impression de revoir mon ex entrain de me balancer les mêmes arguments pour me faire éteindre la télé lorsqu’en zappant je tombais, malencontreusement pour elle, heureusement pour moi, sur un porno du câble).
Clara, c’est du porno grand public et chiraquien, du cul estampillé TF1 (où elle a d’ailleurs rencontré JP Foucault lors de sa pathétique et misérable tentative de Tonight Show) ou Canal+, ce qui revient finalement au même, où elle anime le Journal du Hard depuis déjà quelque temps. Du coup, elle joue à fond la carte de l’ingénue qui découvre tout et prend véritablement son pied, ce qu’elle arrive à nous faire croire brillamment, mais après tout, n’est-elle pas sincère ? Son corps lui, tout excité et souvent mouillé, luisant et ruisselant de bonheur, dit en tout cas la vérité, comme le montre son bout d’essai au début du programme. Tellement que cela en deviendrait presque parfois gênant, embarrassant voire carrément indécent. Le comble pour du porno !
Et puis elle dit qu’elle s’éclate dans tous ce qu’elle fait, y compris dans la danse érotique, comme le montre une séquence au Salon Hot Vidéo, et les photos. Ce que les deux séances chez les photographes s’empressent de prouver. Sauf qu’à discours officiel de façade, il y a réalité officieuse qui transparaît malgré tout : que ce soit seule ou en compagnie de la voluptueuse Estelle Desanges, au bout d’un moment, la photo, comme tout boulot, c’est crevant et rébarbatif. Et sucer des queues et se faire bien bourrée tout en souriant à la caméra alors ? Ca aussi ça lui plaît, d’autant qu’elle dit avoir réalisé tous ses fantasmes (l’exhibitionnisme et le lesbianisme, et rien d’autre, ce qui il faut l’avouer est un peu triste), qu’elle a un contrat d’exclusivité et donc de qualité, qu’elle contrôle parfaitement sa carrière et qu’elle ne tourne qu’avec son mec.
Mais voilà le hic justement, ce que tendent à rappeler le duo fille et le duo garçon, deux scènes extraites de ses précédents films. On aimerait bien la voir entre d’autres membres experts : à quand les doubles pénétrations, les doubles fellations et les gangs bangs ? C’est peut-être bien cela être star du X aujourd’hui, star, c’est un métier à part entière, c’est son métier à Clara et c’est vrai qu’elle le fait bien. Profession Star du X, qui faisait déjà les couvertures des magazines alors que l’on ne la connaissait pas encore, avant même que l’on ait pu voir ses premiers films (seulement quatre pour le moment plus deux DVD interactifs). Là où d’autres, pour arriver au même résultat et décrocher la récompense tant convoitée (voir la dernière partie du document) avaient dû avaler des kilomètres de bites, se faire enfiler par des quintaux de zizis et asperger/badigeonner par des hectolitres de nectar du bonheur, le tout avec amour, en souriant et en déclamant à tout va. C’est précisément en cela que le bât blesse : la force et la place dans l’industrie du sexe qui font toute l’originalité et la valeur de Clara en constituent également la(les) limite(s).
Alors de star virtuelle du x virtuel, on aimerait tellement la voir passer à actrice réelle tout court et abandonner au passage son projet esthétique insensé de beauté et de propreté. Car cet adorable minois, cette douce et tendre jeune fille au corps magnifiquement sculpté et cambré, ce corps de déesse méditerranéenne fait pour l’amour, à la voix suave et ensoleillée, n’est pas encore prête de nous faire oublier la sublimissime et délicieuse Laure Sinclair, cette enfant du peuple déguisée en putain bourgeoise, la plus cochonne d’entre toutes les cochonnes, la reine des salopes, l’égérie de toutes nos folles nuits. Pour cela il faut turbiner, alors ma petite chérie Clara, au boulot et qu’ça saute!
lien pour télécharger le film : ICI


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